Cancers gynécologiques
L'appareil génital féminin comprend des organes externes (la vulve et le vagin) et des organes internes l'utérus ("divisé" en deux parties, le col et le corps), les trompes et les ovaires. Donc le cancer peut se développer à chaque partie; les cancers sont rares au niveau de la vulve, du vagin et de la trompe, et plus fréquents au niveau du col (environ 3 000 nouveaux cas/an), du corps utérin (environ 5 000 nouveaux cas/an) et au niveau des ovaires (environ 4 000 nouveaux cas/an).
Le cancer du col de l’utérus est le cancer développé qu niveau du col utérin; la partie la plus basse et la plus étroite de l’utérus. Il résulte le plus souvent (enviro70 % des cas) d’une infection génitale par le virus HPV (Human Papilloma Virus) qui se transmet à l’occasion de rapports sexuels. A noter que, contre le HPV, existe un vaccin, mais la vaccination ne remplace pas le dépistage régulier par examen gynécologique et frottis.
Le diagnostic du cancer du col est établi par l'examen gynécologique et surtout le résultat de l’examen anatomopathologique (frottis, biopsie de col). Le bilan d'extension comprend une IRM pelvienne; d'autres examens peuvent être nécessaires: scanner thoraco-abdomino-plevien, tomographie par émission de positrons, cystoscopie, coloscopie.
Les traitements disponibles comprennent:
- la chirurgie consiste à enlever la tumeur et les tissus ou organes voisins; selon le stade de la maladie (l'extension du cancer) on peut donc réaliser l'ablation d’un fragment du col de l’utérus (conisation), l'amputation du col, l'exérèse de l’utérus (hystérectomie), des ganglions lymphatiques pelviens curage; (lymphadénectomie): Une chirurgie conservatrice est possible selon le stade de la maladie pour les femme désirant garder la possibilité d’avoir des enfants.
- la radiothérapie (externe ou curiethérapie (endo vaginale));
- la chimiothérapie.
Le cancer de l’endomètre (corps de l’utérus) est le cancer gynécologique le plus fréquent en France; il se développe qu niveau de l'endomètre (la couche qui tapisse l'intérieur de l'utérus). Le symptôme le plus fréquent est la perte du sang - hémorragie génitale ou gynécologique: ménorragies et métrorragies.
Le diagnostic est établi par l'examen clinique gynécologique et l'examen anatomopathologique (biopsie par curetage). Une IRM pelvienne est nécessaire pour le bilan d'extension de la tumeur. D'autres examens peuvent être aussi prescrits: scanner thoraco-abdomino-pelvien, tomographie par émission de positrons, cystoscopie, coloscopie.
Le traitement de référence est l'exérèse de l'utérus avec les annexes et les ganglions (hystérectomie totale + annexectomie bilatérale + lymphadénectomie pelvienne). Selon le stade un traitement adjuvant peut etre proposé (radiothérapie (curiethérapie) et / ou chimiothérapie).
Le cancer de l'ovaire est la tumeur maligne développée à partir des cellules de l'ovaire. Il touche plutôt les femmes âgées (age moyen de 65 ans).
Le diagnostic est établi par l'examen clinique, l'échographie abdominopelvienne, l'IRM et / ou le scanner thoraco-abdomino-pelvien. Le dosage du marqueur tumoral CA 125 est quasi pathognomonique.
Le traitement de référence est l'exérèse de l'utérus avec les annexes et les ganglions (hystérectomie totale + annexectomie bilatérale + lymphadénectomie pelvienne). Compte tenu des particularités pathologique de ce cancer, l'exérèse de grand épiploon et de l'appendice est aussi nécessaire. Selon le stade une chimiothérapie adjuvante peut être proposé.
Des informations détaillées sont disponible sur le site de l'Institut National du Cancer (INCa).
Le cancer du col de l’utérus est le cancer développé qu niveau du col utérin; la partie la plus basse et la plus étroite de l’utérus. Il résulte le plus souvent (enviro70 % des cas) d’une infection génitale par le virus HPV (Human Papilloma Virus) qui se transmet à l’occasion de rapports sexuels. A noter que, contre le HPV, existe un vaccin, mais la vaccination ne remplace pas le dépistage régulier par examen gynécologique et frottis.
Le diagnostic du cancer du col est établi par l'examen gynécologique et surtout le résultat de l’examen anatomopathologique (frottis, biopsie de col). Le bilan d'extension comprend une IRM pelvienne; d'autres examens peuvent être nécessaires: scanner thoraco-abdomino-plevien, tomographie par émission de positrons, cystoscopie, coloscopie.
Les traitements disponibles comprennent:
- la chirurgie consiste à enlever la tumeur et les tissus ou organes voisins; selon le stade de la maladie (l'extension du cancer) on peut donc réaliser l'ablation d’un fragment du col de l’utérus (conisation), l'amputation du col, l'exérèse de l’utérus (hystérectomie), des ganglions lymphatiques pelviens curage; (lymphadénectomie): Une chirurgie conservatrice est possible selon le stade de la maladie pour les femme désirant garder la possibilité d’avoir des enfants.
- la radiothérapie (externe ou curiethérapie (endo vaginale));
- la chimiothérapie.
Le cancer de l’endomètre (corps de l’utérus) est le cancer gynécologique le plus fréquent en France; il se développe qu niveau de l'endomètre (la couche qui tapisse l'intérieur de l'utérus). Le symptôme le plus fréquent est la perte du sang - hémorragie génitale ou gynécologique: ménorragies et métrorragies.
Le diagnostic est établi par l'examen clinique gynécologique et l'examen anatomopathologique (biopsie par curetage). Une IRM pelvienne est nécessaire pour le bilan d'extension de la tumeur. D'autres examens peuvent être aussi prescrits: scanner thoraco-abdomino-pelvien, tomographie par émission de positrons, cystoscopie, coloscopie.
Le traitement de référence est l'exérèse de l'utérus avec les annexes et les ganglions (hystérectomie totale + annexectomie bilatérale + lymphadénectomie pelvienne). Selon le stade un traitement adjuvant peut etre proposé (radiothérapie (curiethérapie) et / ou chimiothérapie).
Le cancer de l'ovaire est la tumeur maligne développée à partir des cellules de l'ovaire. Il touche plutôt les femmes âgées (age moyen de 65 ans).
Le diagnostic est établi par l'examen clinique, l'échographie abdominopelvienne, l'IRM et / ou le scanner thoraco-abdomino-pelvien. Le dosage du marqueur tumoral CA 125 est quasi pathognomonique.
Le traitement de référence est l'exérèse de l'utérus avec les annexes et les ganglions (hystérectomie totale + annexectomie bilatérale + lymphadénectomie pelvienne). Compte tenu des particularités pathologique de ce cancer, l'exérèse de grand épiploon et de l'appendice est aussi nécessaire. Selon le stade une chimiothérapie adjuvante peut être proposé.
Des informations détaillées sont disponible sur le site de l'Institut National du Cancer (INCa).